Cette question est très souvent posée et de nombreuses entreprises ne procèdent pas correctement. C'est pourquoi nous nous penchons sur cette question et la clarifions.

Il est certainement important de penser aux vacances, même en cas d'emploi mineur. Or, certaines entreprises n'accordent pas de congés à leurs mini-jobbers, ce qui est en tout cas une mauvaise pratique. L'idée de compenser les vacances par une rémunération plus élevée est certes compréhensible, mais elle n'a pas de sens en raison de l'absence de but récréatif.

C'est pourquoi la Cour fédérale du travail a décidé que les congés devaient être pris en tant que temps libre effectif, car même un paiement (partiel) va à l'encontre du but récréatif. Dans la pratique, cela signifie qu'une rémunération supplémentaire n'empêche pas l'octroi du congé, même si un accord écrit a été conclu au préalable.

Si les heures de travail effectuées sont irrégulières, une moyenne doit être calculée et fixée pour le droit au congé. La règle est que la personne doit obtenir au moins le nombre de jours de congé nécessaire pour pouvoir prendre quatre semaines consécutives de congé.

Il est important de tenir compte des périodes d'affectation convenues et, en cas de modification, d'ajuster le cas échéant le nombre de jours de congé au cours de l'année. Il est conseillé de prévoir d'abord moins de jours de travail et d'augmenter les jours de congé si nécessaire, plutôt que d'annoncer un chiffre plus élevé et de devoir ensuite le revoir à la baisse. Cela conduit définitivement à des conflits.

Le salaire minimum doit également être impérativement respecté ici, car des rémunérations irrégulières peuvent entraîner des amendes.

Créé par Tagliarina Sabrina le 21.10.2024 à 09:00 heures